La froide tranquilité de la guilde...

J'arrivaui rapidement aux portes de l'école, pui a la garde salle qui serrvait a se détendre. il y avait une cheminée, mais plus aucune fglamme n'y brulait, et il fesait froid ici.Je n'y fis pas attention. Sansa m'avait suivi depuis la foret. Je me laissai tomber sur un fauteuil en cuir, mon arme sur les genoux.

-Deux oimbéciles prétentieux. Je comprends pourquoi les gas de la guilde n'aiment pas ceux de Némésis...

"Oui... puet-être... Laisse-les, ils ne sont aps importants."

Je jettais un oeil à l'arme sur les genoux de Cloud puis haussait les épaules. je me mis à fouiller dans un placard, trouvais plusieurs couvertures, en pris une que j'attachais sur mon dos comme une cape, une habitude que j'avias toujours à l'époque où j'étais chez moi. Puis je regardias du coté de la cheminée. Il y a avait entassé dans un coin quelques feuilles de journal, quelques petites branches et une grosse buches. je préparais le tout dans la cheminée puis, je me retournais vers cloud.
"Tu n'aurais aps un briqet ou des alumettes ?"
fis-je en vérifiant dans mes poches si je n'avais rien de tout cela. j'étias vriament frigorifiée dans cette école, et j'espèrais que le feu allait enfin pouvoir me réchauffer.

Je la regardai s'affairer sans rien dire. Allumer un feu, ou pas, quelle importane? De toute facon je e comptais pas rester. On ne se moque pas de moi impunément. Dés que j'ai un peu de temps jevais butter de l'elfe a Némésis. Je fouillai dans mes poches et trouvai un paquet d'akllumettes. Presque vide, il restait cependant quetre ou cinq rescapées. Je tendis le tout a Sansa, tout en repensant aux deux précédentes journées.

-Tiens, c'est tout ce que j'ai. Ca t'arrive souvent de vifvre autant de trucvs en une journée?

J'acceptais la boite d'alumette sans rien dire. j'en grattais une qui s'enflamma avec peine dans l'humidité ambiante. Je la regardais un moment se consumer puis la posais sur le journal roulé en boule sous les branches. Quand le feu eut bien pris je posais la buche dessus puis me relevais en essuyant mes mains sur mes vêtements. Puis je redonais la boite d'alumette à Cloud.

"Vivre autant de chose ? Pas de cette tailles là, non, pas vraiment... En générale, c'est moi qui provoquait les problème."

Comme le jour où j'avais détruit presque toute la chambre de ma soeur, peu après l'accident. Sous un coup de colère. personne n'avait compris ce qu'il s'était passé et quand ils m'avaient vus au milieu du carnage de livre, vêtements et autres affaires, pleurant dans un coin de la pièce au plafond défoncé, il ne m'ont pas soupçonnés. ils m'ont juste dit de partir, que je les gênais. je n'attirais aps l'attention, quoi que je fasse.

Et cette fille, je lui en voulais de m'avoir attaquer d'un seul coup sans raison. A elle, je n'avias rien fait.

"Si tu veux... je pourrais t'accompagné..."Fis-je seulement.

Je tenids mes maisn a dessus du feu. Après tout, c'étaient mes instruments de travail. Pas la peine de les laisser s'abimer. Je laisai affluer les souvenirs, les tueriues, combats, tout ce que ej pouvais faire ressortir. Est-ce que je pouvais dirte que cette journée avait été roche en émotions. Pas plus que de nombreuses autres. Je rerpis la noite d'alumette.

-Moi aussi, je provoque des problémes. De très gros problémes. C'est mon boulot, entrainer des "problémes".

Ds problémes...Une vie de merde pasée a tuer des types. Et j'étais ici pour apprendre a tuer avec plus d'efficacioté. Une bien noble cause...Partir me venger, dans cete école de fou, me venger dans le sang, comme je l'avais toujours fait depuis cve jour maudit quand a commencé a mon existence.

-Oui. Accompagne moi, si tu as le coeur bien accroché. Et si tu sais te battre. Mais a cette question, j'ai déja u semblant de réponse. Sauf que tu ne devras pas te défendre, mais ataquer, cette fois.

Je restais les yeux fixés sur les flammes, comme hypnoptisée. Le feu me réchauffais lentement mais au fond de moi, j'avais toujours froid. j'avais froid depuis longtemps. Et j'avias faim depuis un temps à peu près égal, mais cela, c'était à cause de moi.

"Attaquer... Je ne sais pas si je saurais vraiment faire... Mais j'essaierais, au moin... Faute pouvoir mieu t'aider..."

Je la regardai un moment. Elle ne semblait pas en forme. Je me reculai du feu, et renversai mla tete en arrière, essayant de faire le vide. Assez d'images de tueries. J'en ai marre. Et ourtant c'était moi, d'une certaine facon, qui avait proposé& d'aller tuer les pensionnaires d'a coté. Mais en fesant ca, je jouais le jeu de ce type, Sulfur, alors que je m'étais dit que je ne prendrais pas partt a cette guerre stupide.

-Tu n'es pa sobligé de venir. Tu ne me dois rien. Et je n suis pas sur d'y aller. Ce ne sont que des enfants,; après tout...

J'eus un petit rire.
"Des enfants ? oui... Enfin... Des enfants plutôt murs pour leur âge, je trouve.
Ecoute... je suis venue ici... Pour fuir quelque chose que j'ai moi même du mal à comprendre... mais je me sens toujorus aussi mal... Et... cette fameuse gurre entre les écoles... Si ça se trouve, ils nous testent...
Je ne sais pas qui sont ces "ils", mais peut-être que toi, tu les connais...
En tout cas, Fis-je en chassant l'allusion d'un geste de la main. Je pense que les tuer est sans doute impossible, mais pas à exclure. Tu pourrais leur "botter les fesses"Fis-je en riant franchement. Mais ils recommenceraient quand leur bleus serraient partis...
Eux, ce n'est pas un problème. Le problème, c'est ce que 'lon ressens au fond de nous."

Je me tus. Cela faisait des lustres que je n'avias ps parler aussi longtemps et en disant des choses pareils. Je ne parlais presque plus depuis que je pouvais lire ou ressentire les pensées et émotion des autres.

En tout cas, des enfants qui semblent tout a fait capable d'abattre quelqu'un de sang froid. Nous tester...Alors le "ils", je vois pas du tout qui c'est. Et cette histoire de test, je n'y pensais aps. Et je n'avais pas envie d'en savoir plus. Leur botter les faisses, si ca pouvait leur remttre les idées en place, ca pouvat pas fair de mal, mais si ils revenaient juste après, nous nous srions emmerdés pour rien.

-Je ne sais aps qui est "ils". Et je voudrais bien le savoir. Mais j'ai aps envoe de participer aune guéguerre entre école pour leurs "tests". A creuser. Si on doit aller les baffer, dans la mesure du p)ssible, je ne me contenterai pas de leur botter les fesses, comme tu dis. Ce qui ne seront pas assez bons périront, et c'est tout...

"Tu leur en veux tant que ça en ayant envie de les tuer ? Et si c'étaient eux qui te tuaient ? tu y a pensé ? Tu n'aimes pas la vie au point de vouloir soit mourir soit tuer ceux qui se dressent contre toi ? je ne pense aps que ce soit la solution, non."
Je m'écroulais sur un fauteuil à moitié défoncé mais plutôt confortable.
"Autrement, tu ne trouve pas qu'il n'y a pas tant de monde que ça dans cette école ? je n'ai pas vue beaucoup de monde, aujourd'hui..."

La vie QU'est-ce qu'il me reste a vivre de toute facon? Tuer ou etre tué, ca a toujours été ca depus que je fais ce boulot. Je ne vois pas pourquoi ca changerait aujourd'hui.

-C'erst eactement ca. Je n'aime pas la vie au point de vouloir soit mourir soit tuer ceux qui se dressent contre moi. Et tant pis s'ils n'en ont pas conscience. Si ils me tuent, personen ne me pleurera. Si je les tue, les surviovants se tiendront a carreau.

Je restai un moment silencieux. Je pensais a peu près ce que je venais de dire. Pour les pensionanires de l'école, je devais bien avouer que moi aussi je n'ena vais pas vu beaucoup.

-Moi non plus...

"Si tu as l'intention de tuer ou être tuer, je suis malheureuse de t'avoir rencontré, alors. Je n'aime pas la mort qu'elle me concerne de près ou de loin, je la déteste même sielle est inéluctable.
Les survivants, comme tu les appelles, ne se tiendront jamais à carreaux. Tu connais le mot vengeance ?"

-Je ne te force pas a m'accompagner mon amie. Mais je suis déja souillé par la mort. J'ai pris plus de vie que tu ne peux l'imaginer. Si ca te dégoute, alors je retserai seul. j'ai toujours été seul de toute facon. Alors un peu plus ou un peu moins...La vengeance...C'est un bien joli mot. Mais la peutr peut etre plus forte que la vengeance. Crois moi, je sais de quoi ej paarle, je aprle d'ailleurs en connaissance de ecause.

"Si tu le dis... mais je vias rester avec toi. Moi aussi j'en ai marre d'être seule. Et je ne veux pas me retrouvée toute seule. Et je pense que je serais quand même pénée si tu mourrais... Alors je préfére être là, pour pouvoir me dire, plus tard, "j'ai fait ce que j'ai pus"... Ca peut paraitre bizarre ou égoiste que je pense à moi mais en générale, peu de gens pensent à moi donc..."

C'est la permière fois que quelqu'un me dit qu'il serait peiné si je mourrais. En tout cas aussi loin que remontent mes souvenir. Je souris, lachai mon arme et la posai par terre, a coté du fauteuil. Tout en fixant le feu, je réfléchis. Après tout, le passé c'est le passé. On peut toujours changer.

-Tu as gagné, je reste. Finalement, je n'ai plus envoie de mourir. En fait, je n'ai jamais eu envie de mourir. Mais maintenant j'ai envoie de vivre, donc...

"Hein ? t'avais pas envie de mourire mais t'avias pas envie de vivre ? je suis aps sure d'avoir tout compris, moi..."

-Que ce soit clairt. Je me fichais de vivre ou mourir. Maintenant j'ai envie de vivre.

"ah... ouai. Ben mourir, c'est trop nul, de toute façon, alors... Et c'est quoi qui t'a fait changé d'avis ? moi ?"
Fis-je en le regardant fixement.

Je lui souris, la regardant dans les yeux. En effet, c'était elle qui m'avait fait changer d'avis. Sur le coup elle n'avait meme aps tiqué. Ces yeux bicolores étaient toujours aussi étranges, et meme apssionants, d'une certaine facon. Je n'en avais jamai vu des comme ca. Et n'en verrai probablement jamais.

-Oui.

Je rougis d'un seul coup. c'était bien une des premières fois que je réussissais à faire changer d'avis quelqu'un. Finalement, cette école avait du bon...

"Ah. Bon. Tant mieu."Fis-je en continuant de le regarder sans ciller.

Après u effort certain, je réussis a détachr mes yeux des siens. Elle avait subitement rougi. Apparalent,elle n'avait pas l'habitude d'iinfluer sur les choix des autres. Et moi je n'avais pas l'habitude que quelqu'un influe sur mes choix. Assz étrange, mais il faut un début a tout...

-Tu pourrais etre un peu plus fiére de toi. Tu viens de ssauver une vie. Ou plusieurs, peut-etre. Ce n'est aps rien!

"euh... oui, c'est vrai que c'est peut-être bien... Mais peut-être que personne ne serait mort, qui sait. Et même, tu serais tombé amoureux de quelqu'un de l'autre école, et cette fille serait amoureuse de toi. malheureusement, c'est l'ampur impossible alors du coup à la fin, comme tout le monde est aps content, par un malheureux concourt de circonstance, vous finissez par vous tuer tout les deux... et dans ce cas là, j'aurais 2 morts sur la conscience."

(je dérive, je dérive...^^)

Je la fixai avec de grands yeux, et éclatai de rire. Décdément, si je n'étais pas pret d'apprécier cette école, les pensionnaires ratrapaient largement le batiment. Finalement, ne seraitce que pour rester avec Sansa, je pense que j'aurais refusé meme si on me proposait de partir. Après tout, cétait la toute rpemière fois que je pouvis parler tranquilement avec quelqu'un au coin du feu, et rire, je n'avais jamais ris comme ca. un vrai rire, franc et sincére. Pas n rire de facade, ou un rire sadique, ou un rictus, ou un rire moquer, ou que sais-je encore.

-C'est sur que si tu vois les choses comme ca...Mais je ne pense pas que j'arrive a tomber amoureux d'une fille de l'autre école si je reste ici. Cependant, si jaais c'est le cas, c'est pas les relations tendues entre deux écoles qui empécheraient cet amour. Mais quoi qu'il en soit, tu te laisses peut-etre un peu emporter...

"Moi ? emporter ? jamais enfin !"Et j'éclaitais de rire à mon tour. je m'étais retenue pour essayer de garder un air sérieux, mais c'était dur.
"Tu sais... En plus... sio ça se trouve, un jour, va y avoir une fille super canon super forte pour se battre et puis au début, vous allez vous détester et après, ce sera le grand amour pârce que;.. euh... vous allez devoir euh... combattre des extraterrestre ensemble !"
pendant que je parlais, je soulevais doucement une couverture dans un coin par la pensée. Cloud ne pouvais pas s'en rendre compte. Je l'aprochais de cloud. Et puis, alors que je m'arrêtais de parler, je tirais la langue et fis :
"Bouh ! c'est le fantomme !"
Et la couverture tomba sur la tête de cloud alors que je partais dans un grand rire.

Me battre avec uenfille cabnon et forte contre des extra terrestres. Je manquai m'ettoufer a force de rire. Quand j'arrivai presque a me controler, je vis une couverture me sauter dessu tandis que Sansa parlait d'un fantome et de la boue, ou je en savais trop quoi...Je me débatis un moemnt, empétré dans la couverture de laine, et finis par réussir a la faire tomber a terre, rouge et courvert de sueur, mon fou rier avait repris.

-Arrete toi sinon c'est ma mort que tu vas avoir sur la conscience. Asphyxie...