Incursion en terrain ennemi

hrpg: Rapelle-toi, Phienix, que tu n'es pas surpuissant, quelque soiit cette histoire de double noir. Tu es un éléve, comme moi et Mironis. A deux contre un, on gagne, quoi que tu en dises.

Je ricanai devant l'imbécilité de mon adversaire. Il s'était fait prendre a mon piége une fois. Il avait réussi a s'en échapper. Ne prenant meme pas garde, il refonce tete baissée dans le meme piége. De plus, je venais de le comprendre, il était un etre méprisable entre tous. Comme moi. Et cette constatation me donné une furieuse envie de tuer. Tant pis por lui. On ne provoque pas Cloud Strife sans en subir les connaissances. S'il recherche ma fureur, il l'a trouvée!

-Jeune imbécile prétentieux...Tu ne mérites que la mort. Cruel et insensible, tu es en plus imbu de toi meme, et prétentieux. Comment peux-tu prétendre ne serait-ce qu'avoir une chance face a moi?

Il était tellement arrogant. Tellement sur de lui. Il était peut-etre le plus puissant des télékinésistes, ou des télépathes, qui avaient eu le malheur de se dresser face a moi, mais il était aussi de loin le moins intelligent. Comme la fois précédente, je réussis a égarer son esprit. Mon épée n'avait pas bougé de ma main soudée a moi comme je suis soudé a mon bras. Quand il ne fut plus en état de me nuire, je foncai vers lui, épée levée.Je le frappai au torse, une estafilade sanglante barra sa poitrine.

hrpg : dsl Cloud, je me suis emporté et je m'emporte facilement sur ce genre de choses. T'inquiète, ça ne se reproduira pas.

Sous la force du coup qu'avait asséné Cloud, Phöenix tomba au sol, sanglant.
Il retint ses larmes, conscient que personne ne pouvait l'aider. Il avait choisi cette école afin de maîtriser ses pouvoirs, d'oublier la tragédie de ses parents. A la place, il était tombé dans une guerre sans pitié contre l'école voisine, dont il payait les frais.
Il ferma les yeux puis essaya de trouver une solution pour battre en retraite. Il vit au dehors une pierre assez lourde pour étourdir son ennemi. Par télékinésie, il souleva la pierre et la projeta silencieusement contre Cloud. Ce petit rocher frappa Cloud et Phöenix profita de cette diversion pour saisir son épée et s'enfuir vers la salle de détente, souhaitant que les deux intrus ne le suivent pas.

Une chose me frappa tandis que Phoenix était a terre. Ou plutot deux. D'aboird, la moins douloureuse, une pierre. Ensuite, bien plus puissante, et pour la toute première fois, des remords. Pour la première fois, j'eus des remords pour tous ces etres dont j'avais pris la vie sans raison. Quel crime avaient-ils commis, pour la plupart, a part déplaire a un crétin friqué. Je fermai les yeux en repensant a tous ca. Des dizaines. Des centaines. La pierre m'avait fait tomber a genoux. Du sang coulait dans mes cheveux, et Phoenix s'en alla. Je tremblais de tous mes membres. En venant ici, je jouais le jeu des dirigeants de ces établissements pourris qui voulaient que nous nous entretuions. Pourquoi est-e que j'étais venu ici? J'aurais du écouter Sansa. Je n'avais qu'une seule amie en ce bas monde, et je n'étais pas capable d'écouter ses recommandations...

-Sansa...Mironis...On y va.

Phöenix avait bloqué la porte de la salle où il s'était réfugié et écoutait attentivement ce que disait Cloud. Ils allaient s'en aller. Sans attendre un geste de leur part, Phöenix sortit de la salle et se précipita sur Vixen toujours prisonnier de la magie de Mironis.
Il lui demanda : "Vixen, ça va ? Réponds moi..."
Phöenix montrait les dents sous la douleur du coup que lui avait porté Cloud.
Il porta son regard sur les intrus et sentit une foule de remords dans l'esprit du guerrier. Il se leva et demanda d'une voix forte :
"C'est ça que vous voulez, dit-il en désignant son estafilade et vixen, ligoté au sol, une guerre sans fin entre nos deux écoles ! Moi, je ne veux pas de ça !
J'ai déjà assez souffert dans ma vie pour participer à une guerre minable. Libérez mon ami et allez vous-en !
Je me suis peut-être montré arrogant, mais je ne suis pas fou au point de blesser d'autres personnes pour des raisons qui remontent à de lointaines années et qui me dépassent complètement !"
Il se remit à genoux près de Vix pour prendre de ses nouvelles.

Chancelent, je me relevai avec difficultés.Phoenix avait raison. Je m'étais laissé aller. J'avais été au moins aussi arrogant et bien plus stupide que lui. J'attendais Sansa pour partir. Elle ne disait plus rien depuis un moment. Elle allait certainemùent me détester, voir me mépriser. Vu la force avec laquelle j'avais lancé mes souvenirs a l'assaut de l'esprit de Phoenix, elle ne pouvait pas ne pas les avoir sentis. Ma gorge se noua et j'eus envie de vomir.

-Nous avons été fous. Moi et Mirnois, tous les deux. Nous allons partir. Et nous ne reviendrons pas de si tot. Nous n'aurions jamais du venir.

Phöenix observa Cloud et lui répondit :
"Je pense que tu prends la bonne décision. Partez mais avant libérez mon ami et..." Le télépathe eu une difficulté énorme à prononcer ce nom :
"...Kheira... Je peux vous assurez que nous aussi, nous ne viendrons pas dans votre école avant un sacré bout de temps. Je ne sais même pas si j'irai un jour dans votre école..."
Phöenix se remit près de Vix, attendant que quelqu'un ôte cette fichue magie noire.

Vixen avait éviter de regarder la scène. Mais il avait bien entendu. Et personne ne lui avait enlevé ce truc qui le ficelait comme un saucisson!! Il s'était tu pour ne pas attirer l'attention et d'autres coups. Il regarda Phoenix et gémit. Il essaya de se défaire de l'emprise de la magie de Mironis mais n'y parvint pas.

Phöenix se tourna rapidement. Vixen venait de reprendre conaissance. Il lui prit les épaules et regarda cette magie noire qui l'empêchait de bouger. Il lui demanda, d'une voix inquiète :
"Vix, ça va ?"

Le garçon avait trop peur pour parler. Il fit oui de la tête. Et gigota encore pour se libérer mais abandonna. Ça l'épuisait.

Je ne répondis pas, pour moi je n'avais aucun remord, un ennemie ne mérite aps de pitié, je dis aux personne:

"Mesdames messieurs nous nous en allons, mais sacher que je n'ai aucun remord a vous avoir blaisser... Vosue en aurez fait pareil pour nous, aujourd'hui des homme on périt sans comprendre, d'autre se sont fait piéger par leur puissance, d'autre encore se sont leur passé qui les ont piéger... Quant a moi, mon esprit est simple, certain diront que je suis sans pitié, d'autre fou, ou encore bornée ou stupide. Sachez tout de même, qu'un jour je reviendrais, seul ou avec des amis, et ce jour la se sera la fin d'une des deux écoles... je serais heureux de mourir, car la mort pour moi n'a aucun secret, je pourrais aujourd'hui simulais ma mort devant vos yeux, car je suis un maitre de l' illusion... Mais je n'en vois plus l'utilité, je ne vois plus des ennemies ici, seulement des victimes...
Allons y Cloud, Sensa... Partons."

Je levais tous mes sorts et avança vers la sortie...

Vixen venait d'être libéré de l'emprise de Mironis, déterminé à poursuivre la lutte entre les deux écoles, même si ça devait le mener à sa perte.
*Après tout, c'est son problème si il veut mourir pour des raisons qui le dépassent* pensait Phöenix.
Le télépathe prit Vixen dans ses bras et lui demanda :
"Vixen, ça va mieux ? Ne t'inquiète pas, c'est terminé..."
Phöenix était angoissé par l'état alarmiste du jeune zoomorphe.

Vixen resta silencieux. Puis émit un son comme quoi il allait bien. Mais il avait peur. Il n'osait imaginer avec une épée dans le corps. Il tremblait.

"Tout va bien maintenant. Je te ramène dans ta chambre. C'est fini..."
Sans accorder un seul regard aux intrus, Phöenix prit Vixen dans ses bras et le porta, son épée à la taille puis monta les escaliers doucement afin de ne pas troubler le jeune homme.
Le dos tourné, le télépathe se remémorait les sortilèges de guérison et entrait dans l'esprit du zoomorphe pour tenter de l'apaiser.

Suite au dortoir dans la chambre de Vixen