La prophétie

Voila, une hisrtoire faite par moi et un pote. Amis lecteurs, avis a vous...


Prologue

Réën’val, terre de légendes dépassées, ou les mythes ne sont plus que des souvenirs. Dans ce monde, divisé par la guerre, où la corruption est monnaie courante, quelques âmes solitaires rêvant d’un avenir meilleur marchaient en silence. Certains les appelaient les respectueusement les Ombrelune, d’autres, des ignorants, des rebelles. Ils pensaient qu’il s’agissait là de comploteurs, d’hypocrites cherchant à s’emparer du trône. Dans un sens ils avaient raisons en disant qu’ils voulaient destituer le roi de son trône, mais ce qu’ils ne savaient pas c’était que le roi était corrompu par la religion qu’il exerçait. Une religion barbare, que lui inculquaient des prêtres a longueur de journée. A force de bourrage de crâne, le roi ne contrôlait plus grand-chose, ni à sa cour ni dans son royaume, et laissait volontiers les décisions importantes aux évêques.
Dans ce monde de haine et d’ignorance, deux personnes fuyaient les troupes royales. Ils y avaient un homme et une femme. Ils étaient sous de sombre capuche mais l’on voyait quand même un bébé dépassé du capuchon.
Une volée de flèche partit en direction des fuyards. L’homme tomba, mortellement touché, une flèche dans le dos. Il murmura ces mots à la femme :
« Je t’en prie, garde notre fils loin du malheur protège le de toute ta volonté … »
La femme éclata en sanglots mais continua sa route, quand une nouvelle volée de flèche s’abattit juste derrière son dos, elle redoubla d’effort pour distancer ses poursuivants mais une flèche fini par la toucher à la hanche, elle s’effondra sur le sol mais se releva et puisa dans ses dernières ressources pour continuer sa course folle vers le fleuve ou elle voulait le déposer en espérant qu’il soit recueilli par quelqu’un car elle se savait perdue et son fils tomberait avec elle. Aux abords de la rivière un homme attendait. Il murmura :
« Donne-moi ton enfant, je m’occuperai de lui.
-Merci. Je te revaudrai ça, répondit la femme dans un souffle. »
Toujours sans cesser de courir, elle reprit son chemin. Sa blessure à la hanche la gênait, elle tombait régulièrement et se relevait sans cesse, tout en sachant pertinemment qu’elle n’avait aucune chance de survivre. Une nouvelle volée de flèches fusa derrière elle. Elle trébucha, et ne put que regarder la mort fondre sur elle. Les flèches se plantèrent dans son corps, profondément, la tuant instantanément. Sa seule consolation, juste avant de mourir, fut de se dire qu’elle ne souffrirait plus. Elle rendit son dernier souffle dans un râle, une flèche en travers de la gorge. Pendant ce temps, l’homme près de la rivière s’était prestement éclipsé. Il avait disparu, silencieux comme une ombre, dans les fourrés, en direction de la route peu fréquentée qui sillonnait la forêt où il se trouvait. La route en question se trouvait à un kilomètre en amont environ. Sur cette route, les âmes solitaires rêvant d’un avenir meilleur s’étaient arrêtées, attendant l’homme de la rivière.
Celui-ci arriva au bout de dix minutes avec l’enfant dans les bras. Il leur dit :
« Très bien j’ai accomplis mon devoir nous pouvons partir. »
Les hommes se regardèrent puis un enfin ce décida a formuler la question que tous se posaient :
« Chef pourrais on savoir ce que l’on est venu faire ici en plein milieu de la nuit ??
- Eh bien un mission visant a aidez une amis dans le besoin mais qui maintenant n’est plus.
- D’accord mais qui est cet enfant, est-ce son fils ?
- Oui et je lui est promis de m’en occuper. »
Les hommes se regardèrent mais ne formulèrent aucune objection, ce n’était pas la première fois que leur chef commettait des excentricités.
Ils remontèrent donc a cheval et repartirent dans la contrée où ils se cacheraient avec l’enfant de la destinée.

Le chapitre 1er

CHAPITRE ][



Erwan sortit furtivement de sa chambre et traversa le couloir qui le séparait ce celle de ses parents. Parents, c’était un bien grand mot. Erwan n’avait jamais connu ses parents. Il n’avait connu que Siegfried et Nomaria, son père et sa mère adoptifs. Aussi loin que remontaient ses souvenirs, ils s’étaient occupés de lui comme s’il eut été leur véritable fils. Mais ce n’était pas le cas. Il savait qu’un jour il partirait, il irait chercher ses parents. Mais pas aujourd’hui. Aujourd’hui, c’était son anniversaire. Son quinzième printemps débutait, aujourd‘hui. Il traversa donc le fameux couloir, pour arriver devant la porte close en érable, qu’il poussa doucement. Les gons bien huilés ne grincèrent pas, la porte de bois s’ouvrit, dévoilant la vaste chambre. Ses parents ne se trouvaient pas dans la chambre. Ca ne l’étonna pas, ils se réveillaient toujours largement avant lui. Surtout son père, pour aller travailler. Il fouilla la chambre de fond en comble, furetant dans chaque recoin, mais il ne trouva rien. Il finit par abandonner, et ressortit bredouille de la chambre de ses parents. Chaque année, c’était pareil. Il devrait avoir l’habitude, mais il ne pouvait s’empêcher d’être déçu de ne rien trouver. Il sortit de la chambre, referma la porte et descendis les escaliers de bois noble. Il marcha jusqu'à la salle a manger, ou déjà son père l’attendait. Il avait un sourire ironique, signe qu’il savait déjà ce que venait de faire son fils. Ce n’était pas bien compliqué, il faisait pareil chaque année. Erwan prit la parole, d’une voie un peu traînante :

« Père ! Quand est-ce que je pourrais avoir mon cadeau ?
-Ce soir Erwan. La fête est ce soir. Tu auras ton cadeau pendant la fête. Laisse moi, maintenant, j’ai du travail.
-Très bien père, allez donc travailler… »

Et Siegfried partit travailler. Il travaillait beaucoup, ne passant que peu de temps avec sa famille. C’était souvent horripilant pour Erwan, surtout le jour d e son anniversaire. A croire qu’il le faisait exprès. Il remonta dans sa chambre et se mit a faire les cent pas avec impatience. Erwan était long et assez maigre, avec des cheveux bruns jamais coiffés entourés d’un visage au teint halé. Il maniait les armes depuis son plus jeune age, à cette époque, son père lui enseignait les rudiments quand il pouvait passer un peu de temps avec lui. Erwan avait fini par comprendre qu’il ne progresserait qu’en s’entraînant sans son père, qui n’était pas présent assez souvent. Il maniait aussi bien le poignard que l’épée ou le sabre. Pour son age, il était l’un des meilleurs, rapide et agile, il se mouvait comme un félin, insaisissable. Lassé d’attendre, après près d’une heure passée a tourner en rond, i l sortit de sa demeure et fit un tour dans le vaste jardin qui jouxtait le manoir, non moins vaste. Gilded et Nomaria avaient une vie aisée et paisible. Ils n’étaient pas tout à fait des nobles, mais vivaient comme tels. Il réfléchissait a ce que pourrait être son cadeau. Il avait vu un magnifique poignard chez le meilleur armurier de la ville. Mais le prix de cette pièce de collection l’avait laissé bouche bée. Il n’avait pu le prendre dans les mains, mais cette arme, il le sentait, lui serait allé comme un gant. Il avait effleuré le fil de la lame du bout d l’index, mais le marchand l’avait fait déguerpir, craignant pour son arme. Ce serait pure folie de la part de ses parents de lui acheter ça. Pourtant, il voulait tenir cette arme dans ses mains. Il en avait presque besoin. Il pensa encore un petit moment a ses futurs présents, assis a l’ombre d’un tilleul, quand il remarqua un détail étrange. Une ombre qui semblait sortie de nulle part, et qui n’avais absolument rien a faire ici. L’ombre se déplaça jusqu'à lui, puis sembla prendre consistance. Le jeune garçon avait la main sur le manche de sa dague, tandis qu’un homme apparaissait la ou se trouvait l’ombre un instant plus tôt. C’était une personne d’âge indéterminable. Il était grand, avec des cheveux grisonnants, des sourcils broussailleux, des yeux toujours en alertes, un nez assez fin et une mâchoire carrée. Erwan se détendit, et un large sourire illumina son visage tandis qu’il se relevait habilement. Il sauta au cou de l’homme, Sorento, son parrain.

« Salut Erwan ! Comment ça va aujourd’hui ?
-Mon père me cache encore ce que sera mon cadeau, et, pour changer, ’’ il a du travail ’’. Mais moi je vais bien. Et toi ? Qu’est-ce que tu as fait depuis la dernière fois que je t’ai vue ?
-Ah…c’est vrai que tu as quinze ans aujourd’hui. Tu as grandi, depuis la dernière fois, Erwan.
-C’était il y a trois ans, alors forcément…Mais tu n’as pas répondu a ma question !
-Oui, c’est peut-être pour ça. Excuse moi de ne pas te répondre, mais je n’ai rien d’intéressant a raconter. Je travaille avec ton père. Il me tue a la tache, si bien que je n’ai même plus le temps de venir voir mon filleul. »

Erwan lui jeta un regard soupçonneux. Il n’en croyait pas un mot. Il avait déjà vu Sorento se battre, et son père aussi. Il ne savait pas ce qu’ils faisaient comme métier-ils esquivaient toujours ce genre de question-mais il se doutait bien que pour se battre comme ça, on ne doit pas être boulanger.

« Moi non plus, je n’ai rien de spécial a raconter. J’ai participé au tournoi communal, mais c’était inintéressant, on combat avec des armes de bois.
-Je vois. Bon, on rentre ? J’aimerais saluer tes parents.
-Oui, allons y. »

Erwan et Sorento prirent tranquillement le chemin du manoir qui se dressait à une centaine de mètre. Erwan sentait derrière lui comme une présence. Il se retournait régulièrement, sans rien voir. Pourtant, il savait qu’il était épié. Il ne dit rien car son parrain s’en était rendu compte aussi. On le voyait a l’impassibilité de ses traits, d’ordinaire si expressifs. Ils passaient sous un grand sapin quand leurs doutes se confirmèrent définitivement. Une flèche fusa sur Sorento, qui l’évita avec une vélocité surhumaine. En même temps, un homme portant une armure de cuir noir bondissait du sapin. Erwan avait tenté de dégainer son arme, mais quand il y arriva, l’homme en noir était déjà embroché sur l’épée de son parrain.

« Trop lent. Je n’aurais pas été la, tu serais mort. »

Sorento regarda sa victime, au teint assez pale et au visage buriné. Il retira sa lame de l’abdomen de l’homme, qui palissait a vue d’œil, tandis que la mort s’emparait de lui. Sorento l’acheva en lui tranchant la gorge, et chargea le corps sur ses épaules. Devant le regard médusé de son filleul, il se sentit obligé de s’expliquer un peu.

« Ton père voudra peut-être voir cet homme. Maintenant, rentrons vite, il se pourrait qu’il y en ait d’autres. »

Erwan ne voyait pas du tout pourquoi un corps pourrait intéresser son père, amis il ne posa pas de questions. Il prenait commençait a prendre conscience de la vérité, et se rendait compte que tout était encore plus compliqué qu ce qu’il avait imaginé. Il partit lui aussi en courant, sa dague a la main, et ils couvrirent la distance qui les séparait du manoir sans avoir rencontré d’autre incident. Quand ils entrèrent, son père s’approcha de Sorento pour le saluer chaleureusement, quand il vit la mine de son fils et le cadavre sur les épaules de son vieil ami. Il perdit tout de suite toute jovialité, et intima a l’homme de le rejoindre dans son bureau. Ils s’y rendirent tous les deux, fermant la porte à double tour. Sa mère s’approcha de lui, visiblement bien inquiète, et le questionna :

« Peux-tu me dire ce qu’il s’est passé ?
-Oui…Nous marchions…Avec Sorento, on marchait pour rentrer. On marchait tranquillement et cet homme…en noir…nous a attaqué. Il a sauté d’un arbre pour nous tuer…Il a presque réussi. Mais c’est Sorento qui l’a tué. Il a remmené le corps en disant que ça pourrait intéresser mon père…Qu’est-ce qu’il voulait dire ? »

Nomaria réfléchit un moment avant de répondre. Elle était encore plus soucieuse, et visiblement pas d’humeur à être cuisinée, aussi Erwan se contenta de cette réponse :

« Je ne sais pas pourquoi il a fait ça. Oublie. Va dans ta chambre, ou où tu veux, mais reste dans la maison, on te tiendra au courant… »

Il fit mine de partir, tandis que sa mère s’approchait du bureau et ouvrait la porte, qu’elle venait de déverrouiller. Erwan fut indigné d’être mis de coté, comme un jeune enfant. Après tout, i était concerné au plus haut point. Ils n’avaient pas a le laisser de coté comme ça. Il s’approcha de la porte et y colla son oreille. Il entendit les voies, un peu atténuées, des trois personnes…

« …devrait peut-être lui dire ? dit la voie atténuée de sa mère.
-Il est trop jeune, répondit son père.
-Réfléchis cinq minutes mon vieil ami. Aujourd’hui il a failli se faire abattre. Ca faisait déjà un moment qu’il se posait des questions. Si on ne lui dit rien, il va se mettre en tête de tout comprendre tout seul, et il va se faire tuer.
-Sorento, tu es un homme intelligent, mais c’est mon fils, que je sache, et je sais ce qui est mieux pour lui.
-Je n’en suis pas sur, rétorqua Sorento. Si tu savais ce qui était mieux, tu lui dirais d’entre au lieu de le laisser écouter a la porte et tu lui dirais tout.
-Ecouter a la…ERWAN ! »

Erwan déglutit difficilement. Il ne pensait pas être aussi peu discret. Il fit quelques pas en arrière, mais son père et Sorento lui ouvrirent. Tous deux avaient une expression grave, mais son père perdit rapidement sa colère. Ils lui firent signe d’entrer. Ca allait être le moment des révélations, maintenant. Joyeux anniversaire Erwan…

« Bon. Vous me cachez quelque chose. Tous et depuis longtemps. Je m’en étais rendu compte. Quand on est aussi bon bretteur que toi, père, ou que toi Sorento, one ne peut qu’en faire son métier. Aujourd’hui un homme a essayé de me tuer. Je ne suis plus un enfant je pense, alors je serais heureux que l’on m’explique ce qui se passe. »

Tout le monde s’assit autour du large bureau en érable verni de son père. Erwan était un peu gêné par les regards posés sur lui. Ils étaient fixes, tristes, sérieux et résignés a la fois. Il déglutit, un long moment passa, puis Sorento ouvrit la bouche, comme a contrecoeur.

« Tes parents, jeune homme, étaient des soldats. Pas n’importe lesquels. Norim, ton père, et ta mère Eléa, devaient être parmi les meilleurs guerriers de ces contrées. Ils étaient cependant relativement pacifiques. Ta mère était même la première conseillère de…l’empereur. En plus d’être une excellente épéiste, elle était une grande magicienne. Ton père était général des armées, mais dans un cas comme dans l’autre, tous deux n’obéissaient pas au roi, malgré leur titre, mais a ces évêques et leur religion étrange. As-tu entendu parler des Ombrelunes? Ils ont été chassées et déclarées hors la loi. Cependant, ils ne cherchent que le bien, crois moi…Tes parents l’avaient copris. Ils avaient rejoint ce groupe, et étaient des agents infiltrés, certainement les deux plus haut placés. Cependant, comme ça arrive souvent aux agents double, trop souvent, ils se sont fait démasquer, et ont du fuir. Sorento t’a récupéré il y a quinze ans, peu avant que ta mère ne meure, et m’a confié ta garde. Tous deux, nous travaillons pour ce groupe. Et je te demande d’être notre fer de lance. Comprends moi bien. Tu es l’enfant d’une ancienne prophétie… »

Ca devenait compliqué. En plus d’être le fis d’un général et de la première conseillère royale, d’être l’enfant de deux agents infiltrés de ce groupe d’Ombrelunes qu’on lui avait toujours présenté comme une secte dangereuse, on lui disait maintenant qu’il faisait l’objet d’une prophétie ? Comment pouvait-on avoir tant de responsabilités sur le dos en une journée ?

« Qu…quel genre de prophétie ? demanda le jeune garçon.
-C’est une vieille prophétie des prêtres d’Asward, les prêtres qui régissent ce royaume. Elle dit que l’enfant né du sang des traîtres, maître des arcanes et des armes, marchera a la lumière de la Lune sur les cendres d’Asward, la capitale. Les prêtres sont même allés jusqu'à donner le nom de leur culte a la ville…Quoi qu’il en soit, nous pensons que la prophétie parle de toi.
-Maître des arcanes ? Je ne suis pas capable de faire bouger un caillou…
-Tu ne t’en es pas rendu compte, mais tu as déjà usé de magie. Et vu que tu n’y as jamais été entraîné, c’est assez exceptionnel. Comme la fois ou tu es tombé de ce ravin, et que tu as atterri trente mètres plus bas sans une égratignure. C’est peu de chose, mais c’est un exemple. »

Sorento se tut. Il laissa ses paroles faire son effet. Cela devait être dur, pour son filleul, d’apprendre tout ça d’un coup. A ce moment la, les murs tremblèrent. Il y eut un choc sourd, et tout le monde se leva. Sorento et Gilded sortirent. Erwan resta avec sa mère, qui lui lança un regard désolé, mais ne sut quoi dire. Elle se leva, prit un paquet sur le bureau de son père. Elle lui tendit.

« Voila ton cadeau… »

Erwan prit le paquet avec un sourire crispé, et l’ouvris. C’était, finalement, le poignard qu’il avait vu au village. Avec une lame longue de quinze centimètres en acier aux reflets bleutés, un manche qui en faisait dix, il était superbe. Le manche de cuir tenait bien dans la main, le fil de la lame semblait aiguisé pour l’éternité. La garde était un mélange d’or et de jais entrelacés, du travail d’orfèvre plutôt que d’armurier. Il y avait avec un étui, dans lequel il plaça l’arme. Il plaça l’étui a sa ceinture. Un nouveau choc retentit. Une larme roula sur la joue de Nomaria, et elle sortit a son tour.

[Fin du premier chapitre.]

Je l'ai déjà dit, bien sur.
Génial.

Tu l'as déja dit? Tu vbiens de brisingr?

Ouaip. Je suis Illecamie. Toi, t'es Laïaga, c'ets ça ?^^

Je m'en doutais...
Ouai, c'est Laïaga.

Pour toi, yavais pas beaucoup d'autres solutions... vue que j'ai demandé à Shaka si c'était lui ! ptdr
Tiens, demande lui de venir, lui aussi...

Ouai, je vauis lui dire. En lui demandant de se mettre avec moi, dans la guilde des frèrees noirs.

ben, j'y suis, moi, maitnenant...
Autrment, pour revenir à ta fic, à quand la suite ?

Eh bien, on doit se concerter avec Alex, et s'y mettre. Demain je l'apellerai, et on en parlera.

oui, ya interêt
Je voudrais bien la suite moi !!!!!

Crtois moi,j ela voudrais bien aussi.
On a déja fait une ébauche du chapitre, on se basera la dessus pour faire la version compléte, puis la finale.

Ok... Et ben... Bonne chance pour la suite...

Je te remercie, parti comme ca on va en avoir besoin...^^

écrire une histoire à deux, c'ets quand même difficile...

Meme seul, c'est compliqué. la plupart du temps, on travaille séparément, on s'envoie nos idées sur msn, et puis lui ou moi faisons une version finale, que l'autre relis et commente, et ensuite on la poste.

Ok... tout une technique, à ce que je vois !

Moi, c'est pluis simple. Il n'y a qu'une seule phase.

Enfin, non, il y en plusieurs, enf ait.

1 : trouver le bloc sur lequel j'écris
2 : trouver un crayon
3 : écrire.

voila. Comme j'y post pas, j'y tape pas non plus.

Tu devrais essayer, c'est peut-êtr eplus agréable. mais ave cune autre histoire parce qu'elle,c'et trop tard, je veux savoir la suite.

Je préfére en effet écrire sur papier, mais c'est moins clair, plus chiant au niveau des erreurs a corrgier, et j'ai la flemme de copier sur l'ordi. Donc, comme tu l'as dit, cette histoire je la fais sur l'ordi. Si u jour j'en fais une juste pour moi, je l'écrirai peut-etre sur papier.

oué moi aussi ^^ enfin faudrait penser a l'écrire xD

c'est toujours aps fait !?!?!!!!!!??????? vous exagérez, là !!!!!!!!!!!

Je suis désolé. Et bientot la rentrée en plus. Fais moi y penser dans la journée et on s'y met. Sinon on oublie^^

Là, vous éxagérez trop, quadn même.... la 2nd, c'est vriament du gateau, plein de temps libre et tout... Franchement, faites un effort pour faire cette suite, là !"

Oui on sait...
bon samedi on s'y colle xD

Ptdr, on est deux flemmards pris en flagrant délit...
Tachons de nos y mettre samedi, tu as raison.

oué il vaudrait mieu sinon on va nosu faire pendre! ^^